Rules of Rose
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 « Jason Dean Carlin » UC.

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MessageSujet: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeMer 3 Juin - 19:26



    « Jason Dean Carlin » UC. Jasondcarlin3
    .....
    JASON DEAN CARLIN.
    #Feat Jensen Ackles.
    credit Sweet Tabasco.
      « Ne me demandez pas qui je suis, je crois que moi-même je n'ai pas encore compris dans quelle catégorie je jouais. La vie est-elle réellement un jeu ? Jusqu'à aujourd'hui j'aurais sûrement acquiescé sans l'ombre d'un doute mais à présent tout est devenu différent. J'ai toujours cherché à sauver les apparences et à ne pas avoir à affronter la réalité en face. Mais après tout, peut-être que cet orphelinat a du bon et que je vais devoir m'assumer un peu. »



Dernière édition par Jason D. Carlin le Jeu 25 Juin - 19:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeMer 3 Juin - 20:08

» Chapitre Premier.

;name» Carlin.
;surname» Jason, Dean.
;age» 25 ans.
;date de naissance» 15/02/84.
;lieu de naissance» Cambridge.
;groupe» We shall kill them.

» Chapitre Second.

;my story» Votre histoire. Minimum 30 lignes.

De ma triste existence dans ce bas monde je ne retiens que trois moments qui seront à jamais gravés dans ma mémoire et qui chamboulèrent littéralement mon petit quotidien plutôt tranquille.

PART 1 ;

Je viens d’avoir seize ans, je nage dans le bonheur. La famille, les amis, les parents et Heather sont là pour fêter mon anniversaire. Parmi les invités je ne vois que des visages radieux. La belle époque encore. Je ne connais rien de la vie et je pense encore que tout le monde il est gentil tout le monde il est beau. Je me trompe à cent pour cent. Je suis à des années lumière de la réalité macabre. On sonne. J’ouvre la porte et vois Sara, ma petite-amie. Enfin, l’officielle parce que personne n’ignore que je la trompe à droite à gauche. Je l’embrasse. Elle me rend mon baiser accompagné d’une toute petite seconde d’hésitation ? A-t-elle appris la vérité ? Oh et puis je m’en fous, elle peut me poser le jour de mes seize ans, le monde ne s’arrêtera pas de tourner et je suis sûr que parmi toutes les belles filles de l’assemblée, il y en a bien une qui m’accepterait pour une nuit de pur bonheur. J’ouvre mes cadeaux avec un empressement non feint. Je suis réellement heureux. Bon, ma mère, Ann, est peut-être dans un état critique à cause de ses foutues drogues mais mon père n’est pas allé s’enfermer avec sa principale famille : ses livres d’histoire. Je m’estime donc chanceux. Je prends Sara par la main et nous avançons collés-serrés vers la petite foule qui nous regarde. Les regards chaleureux me rassurent et j’ai alors la véritable impression d’exister.

On danse, on rit, on boit et on drague. Sauf moi bien sûr puisque j’ai ma Sara. Elle semble bien triste. Je tente de la réconforter en l’invitant à danser mais elle refuse. Tant pis, je pars me trémousser sur le dernier tube à la mode avec une belle brune. Je sens le regard de Sara qui me transperce le dos mais je me colle plus encore à la belle inconnue. Elle a l’air ravie de m’avoir rien que pour elle. Profites-en bien beauté parce que je pense que ma copine ne va pas tarder à rappliquer ! Finalement, le morceau s’achève et on va s’asseoir, loin de Sara qui est occupée à parler avec d’autres. Je tends une bière à la brunette.

« Merci Jay. Au fait, moi c’est Désirée. Je suis la sœur de Ben et il m’a invitée puisque j’étais seule ce soir. »

Ben, Ben… Mais qui donc est ce Ben ? Malgré tous mes efforts je ne parviens pas à resituer le jeune homme. Peut-être un ancien pote du collège, ou une connaissance d’une connaissance d’un ami d’une cousine d’un pote qui j’aurais invité… Oh et puis plus on est de fous, plus on rit ! Au moins, elle connaît mon prénom. Enfin, elle m’a déjà trouvé un surnom apparemment.

« Ah, ce bon vieux Ben ! Ca faisait un bon bout de temps que je n’avais plus entendu parler de lui ! Mais ça me fait vraiment plaisir que tu sois là, toi, Désirée. Joli prénom au passage. »

Elle hausse un sourcil. Cette fille est vraiment sublime.

« Je croyais que vous faisiez partie de la même bande… Merci. Jason, ce n’est pas mal non plus remarque ! »

Elle et moi allons vraiment bien nous entendre. Le seul hic c’est cette histoire avec ce Ben. Qui est-il réellement ? Bah, peu m’importe en fait. Je n’ai qu’un seul but : m’éclater à cette soirée. Je tourne juste un instant la tête pour voir où est Sara. Je la vois qui pleure, et qui quitte sa place dans un grand bruit. Je me sens mal. Qu’ai-je donc fait ? Sara est jolie, intelligente, sympathique, elle a le sens de l’humour. Ai-je laissé passer ma chance simplement pour échanger quelques paroles avec cette Désirée, dont je ne connais rien à part le prénom ? Je me lève rapidement.

« Trouve-toi quelqu’un d’autre pour finir la soirée Désirée, je suis déjà pris, désolé ! »

Et malgré la moue très attirante qui se forme sur les lèvres de l’intéressée, je lui tourne le dos, me précipitant à la recherche de Sara. Mais où a-t-elle bien pu aller ? Elle ne serait quand même pas partie de la fête ! Je monte à l’étage, dans l’espoir de la trouver mais rien. Le vide complet. Je n’entends que les vibrations de la basse qui résonnent contre les murs et qui sont si fortes qu’on dirait qu’ils tremblent. Je passe la tête dans plusieurs des chambres mais toujours personne. Dernier espoir : la salle de bain. C’est ma seule chance, sinon elle m’a filé entre les doigts. J’entrouvre la porte mais l’image que me renvoie le miroir n’est pas exactement celle de Sara en pleurs. Assise aux milieux de mille choses en désordre, ma petite sœur, Heather, tient une seringue entre ses doigts.

Je mets quelques secondes avant de comprendre la gravité de la situation. Heather a un an de moins que moi, quinze ans donc. Elle est encore très jeune mais fait beaucoup plus que son âge et ne fréquente que des gens d’au moins une vingtaine d’années. Mais dans ma famille, personne ne se fait de souci pour elle, personne n’a le temps de s’occuper des autres. Hormis elle justement. Elle a passé des heures à se préoccuper de ma petite personne. Et moi, en compensation, je la méprisais si souvent… A cet instant précis je regrette. De ne pas avoir passé plus de temps avec elle. Comment décrire le sentiment qui m’a happé à la gorge ?
A TERMINER.


Dernière édition par Jason D. Carlin le Jeu 25 Juin - 19:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 18:55

    ;we are family» Votre famille. Minimum 15 lignes.

    > Je me considère comme fils unique. Pour moi ma soeur n'a jamais existé, elle est invisible à mes yeux. Cette fille faible et sans caractère qui est lâchement tombé dans le sombre petit jeu de notre mère, Ann. Cette dernière a sombré dans la drogue peu après ma naissance et les mauvaises langues diront que c'est à cause de l'enfant que j'étais alors, mais je ne les croirai pas. J'ai assez de jugeotte pour savoir qu'Ann ne résistait pas aux tentations et qu'elle était beaucoup trop influençable pour dire non à des revendeurs de drogues. Mais ce que je ne lui pardonnerai jamais c'est qu'elle a entraîné ma petite soeur, Heather, dans cet univers macabre. Ma cadette était tout ce qui comptait le plus à mes yeux, quand j'étais adolescent, c'est elle en partie qui m'a empêché de devenir un total rebelle. J'étais tellement mal dans ma peau à cette époque que je repoussais tous ceux qui voulaient m'aider. Et Heather, dont je suis l'aîné de seulement une année, a réussi ce challenge : rester aussi proche de moi que jadis nous l'avions été. D'un côté je lui serai toujours reconnaissant de cet acte de bravoure et d'amour mais d'un autre la jeune femme qu'elle est devenue aujourd'hui me répugne et m'inspire que de la pitié. Mais dans cette triste histoire, seule Ann est responsable. C'est horrible qu'une mère ait entraîné sa propre fille dans les tourments de la drogue... et pourquoi pas de la mort... Parce qu'Heather est mal aujourd'hui. Elle est en cure de désintoxication mais ne vit plus à proprement parler. Elle a souffert pendant tellement longtemps... Je crois que c'est trop tard, aujourd'hui, pour la sauver.

    > Mon père, Samuel, cherchait à fuir la triste réalité en se plongeant dans son travail. Chaque jour il était un peu plus accaparé dans son métier que le précédent. Avait-il honte de ce que sa femme et sa fille étaient devenues ? Se sentait-il coupable ? Bah quoi, c'est le devoir de tout père de famille : protéger ses proches ! Mais il avait failli à son devoir et peut-être, regrettait... A vrai dire je n'en ai aucune idée parce que je n'ai jamais eu de conversation sérieuse avec mon paternel. Il s'intéressait à moi que lorsqu'il pouvait tirer un profit de ce rapprochement, c'est triste à dire. J'étais le garçon, j'étais l'aîné, je devais donc sauver l'honneur de la famille et être parfait en toutes circonstances. Autant dire que je ne respectais absolument pas ces règles infondées. D'un côté j'ai toujours haï Samuel parce qu'il ne s'était pas occupé correctement d'Heather mais d'un autre... si ma soeur n'avait aucune résistance, ce n'était pas de la faute de notre père mais uniquement de la sienne, à elle. On ne peut pas éternellement empêcher les gens de dépasser les limites, nous ne sommes pas gendarmes. Et surtout lorsque les gens en question sont des personnes que l'on aime, on déteste leur refuser quelque chose qu'ils apprécient.. C'est un dilemme. Une porte close. Un tunnel sans sortie.

    > Ma famille est loin d'être parfaite, j'en ai conscience. Et pourtant je suis obligé de les aimer. Eux. Qui ont tous commis des fautes. Peut-être pas impardonnables, mais énormes au moins. Samuel, mon père, je le pardonne parce qu'il me fait vivre, sans l'argent qu'il rapporte, je serais à la rue depuis belle lurette. Heather, ma soeur, je la pardonne parce que je l'aime et qu'elle m'a beaucoup aidée pendant une période de mon adolescence. Ann, ma mère, je ne la pardonne pas.

    ;character» Votre caractère. Minimum 25 lignes.

    > Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir. Bah il faut croire que le dicton a tort puisque je me considère comme mauvais à part entière. Je suis médiocre. Je n'ai pas pu protéger correctement Heather. J'ai échoué. Si l'on m'avait attribué une note, elle ne dépasserait pas la moyenne. Je ne suis même pas dans les normes. Oh non je ne suis pas un ange déchu. Simplement une personne qui souffre comme toutes les autres. Je ne suis pas supérieur à autrui mais pourtant je suis unique en mon genre. Je suis d'un naturel sensible, j'ai toujours été à l'écoute de ma famille, dans ma jeunesse. Aujourd'hui, tout a changé. Tout est différent. A présent je ressens comme un vide béant dans ma poitrine. Comme si j'étais resté éternellement esseulé, sans que personne ne puisse me sortir de mon gouffre. Je vivais continuellement dans l'obscurité. Et puis un jour, j'ai rencontré Joanna Kellers. Une fille géniale. La femme parfaite par excellence. Je me suis accroché à elle de toutes mes forces, elle était ma bouée de sauvetage. Elle était devenue ma raison de survivre. Et puis un jour, pffiiiout, plus de Joanna.

    > A compter ce jour, ma vie bascula. Bien sûr j’étais terriblement attristé par la perte de Joanna qui faisait office de meilleure amie, d’âme sœur, de petite sœur, de confidente, de meilleur pote et j’en passe. Mais je changeai radicalement. Je n’étais plus le même. Je devenais violent et irritable pour un rien. L’ironie était devenue mon moyen de communication. Jamais je ne disais ce que je ressentais, j’affirmais toujours l’inverse ou en tout cas jamais mes véritables sentiments. Heather n’était plus là pour me calmer et c’était moi qui devais m’occuper d’elle, alors rien ne m’empêchait de devenir un être fourbe, vil et violent. Je me détestais littéralement. Et puis un jour, j’ai cessé de me préoccuper de tout. J’ai tout lâché pour ne me soucier que de ma petite personne. Ah ça oui, j’étais devenu méprisable et surtout, égoïste ! Mais je m’en fichais royalement, je menais ma petite vie et personne n’était là pour me reprocher quoi que ce soit. Le regard des autres coulait sur moi, ils pouvaient bien m’aduler ou bien me mépriser, cela m’était bien égal. La seule chose qui m’importait : mon bien être.

    > Pourtant rester dans un état pareil pendant toute une vie est infaisable. Ne vous inquiétez pas camarade, je sais ce que je dis. Pendant des années j’ai expérimenté le statut de fils de bourges qui passe ses journées allongé sur son canapé bien rembourré à se goinfrer de pizzas. Et bien je peux vous assurer que ce n’est pas bien flatteur. Autant du temps où j’avais encore l’esprit à peu près clair, je plaisais aux femmes mais alors là je volais plus bas que terre, et mes ailes étaient bien écorchées. A peine plus et je m’écrasais contre le bitume et je ne me relèverai pas. Ma vie avait été gâchée, j’avais tout perdu, pour peu que j’eusse possédé quelque chose.

    > Quand une jolie femme dans la rue passe en se trémoussant devant mes yeux avides et demandeurs de sensualité, je ne peux résister à l’aborder. C’est comme si une force obscure me possédait et m’empêchait de rester stoïque. C’est au-dessus de mes moyens. Me sentir apprécié, envié, idolâtré, j’en redemande sans cesse. Lorsqu’une fille me coule en douce un regard encore plus chaud que la braise, je sais que quelques jours plus tard –voire quelques heures- elle finira dans mon lit, brûlante d’envie et de désir. Et en la serrant contre moi, je me rendrai compte à quel point elle m’est indifférente et je la déteste. Parce qu’elle m’a dragué et que je n’ai pas pu refuser. Non pas que je n’en avais pas envie, c’est contre-nature, mais parce qu’à chaque fois que je couche avec une personne de la gent féminine, je repense à elle. Peut-être que je suis trop sentimental et nostalgique. Peut-être qu’elle m’aurait repoussé de la façon la plus humiliante possible. Peut-être que notre histoire d’amour n’aurait pas duré. Peut-être qu’elle m’aurait trompé. Mais en tout cas j’aurais essayé, j’aurais tenté ma chance. Alors qu’aujourd’hui je vis avec cette pointe de culpabilité, cette pointe de remord qui me ronge. Il n’y a pas un moment dans ma journée où je ne pense pas à elle. Je ne parviens pas à la quitter, autant dans mes pensées que visuellement. Chaque fois que je vois Daphnée, sa jumelle, je la hais.

    > Il faut croire que remballer les gens fait partie de ma nature. Je ne supporte pas que certains se croient supérieurs aux autres, alors que moi-même, j’agis parfois ainsi. Mais je ne ménage pas mes paroles –aussi grossières soient-elles- et j’envoie les personnes odieuses retourner d’où elles viennent. Il ne faut surtout pas me provoquer dans mes accès de fureur et de rage, je suis alors énormément susceptible et lunatique. Ne venez surtout pas vous frotter à ma petite personne quand je suis d’humeur exécrable, si vous tenez à votre vie ! Non rassurez-vous cher lecteur, je n’ai encore jamais tué personne. Encore. Il faut pourtant bien un début à tout… Et je sens que cet orphelinat va me faire tourner la tête et je n’aurai plus totalement conscience de tous mes actes… Et je pourrai alors commettre n’importe quel crime sans culpabiliser par la suite. Ne suis-je pas là pour venger Joanna après tout ?!

    ;me &the others» Relations avec les autres membres, ou non.

      « Jason Dean Carlin » UC. Kristenstewart1
        (c) HEROIN


      « May H. Elwood. Alors toi je t’aurai ! Je viendrai te chercher par la peau des fesses s’il le faut mais je te tuerai. D’un autre côté… Tu n’es pas trop mal… Me voilà devant faire face à un curieux dilemme… Mais je résoudrai l’énigme avec plaisir et une fois que j’aurai trouvé la réponse, tu la verras arriver sur un plateau d’argent. Peut-être que tu ne seras plus là pour la voir, peut-être ne seras-tu plus de ce monde… »
      « Jason Dean Carlin » UC. Oliviawilde1
        (c) steph
      « Daphnée L. Kellers. Devrais-je t’adorer ou te détester ? La seule chose dont je suis sûr c’est qu’à chaque fois que je te vois, tu me fais penser à elle et je ne te supporte pas dans ces moments-là. Mais tu n’y es pour rien, eux seuls sont les uniques responsables. Et ne t’inquiète pas Daphnée, on les aura. A coup de hache, de massue, voire de dents, mais on finira par s’en sortir et sauver l’image de notre Joanna. Parce qu’elle est partie, nous laissant seuls, face à notre destin sans être là pour nous soutenir. Et qu’est-ce que je suis devenu après son départ ? Un déchet, une pourriture, une particule microscopique qui n’avait plus son rôle à jouer sur Terre. Je vis dans le néant. Et je pense que c’est pareil pour toi Daphnée… Alors peut-être que nous pourrions soigner notre mal ensemble… Une alliance peut être possible, tu ne crois pas ? »



Dernière édition par Jason D. Carlin le Jeu 25 Juin - 19:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 19:09

» Chapitre Troisième.

ton pseudo» Lena
;ton age» 17 ans.
;multicomptes ?» Nope.
;comment as-tu connu le forum ?» Grâce à Acide.
;une remarque sur le forum ?» Ce ne serait pas un avis très objectif x).
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Jordan L. Droban
    When an Angel deserve to die

Jordan L. Droban


Messages : 178
Date d'inscription : 03/06/2009
Age : 30

nothing but the truth;
age;: 22 ans
relations; :

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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 19:36

J'adore la musiique & le début de ta fiiiche
Je t'aaaime !!!
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 19:39

C'était la musique cool dont je t'avais parlé ^^
Mais elle bug et va pas jusqu'au bout x)
Merci ma KIWINETTE !
{Tu peux pas t'empêcher de poster dans ma fiche LOL}
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Daphnée L. Kellers

Daphnée L. Kellers


Messages : 9
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 20:11

    Alors moi je dirais que ... Je suis fan de ce que t'écris. Mais bon ça tu le sais, c'est loin d'être nouveau ! Je suis toujours en admiration devant tous ces mots qui s'allignent et qui sortent tout droit de ton esprit. T'as un réel talent et au moins une fan à tes basques !

    I love you
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 20:28

... Merci ... ^^
Je pense la même chose que toi à propos de ce que tu écris... dans tes posts ! x)
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Daphnée L. Kellers

Daphnée L. Kellers


Messages : 9
Date d'inscription : 24/06/2009

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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 20:30

    Précise bien DANS LES POSTS xD
    On peut pas être bons partout Razz
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitimeJeu 25 Juin - 20:32

C'est juste parce que tu ne veux pas te donner du mal Razz
Bon je retourne à ma fiche moi =)
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MessageSujet: Re: « Jason Dean Carlin » UC.   « Jason Dean Carlin » UC. Icon_minitime

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